25 janvier 2024 :
Petit déj à la guest house avec baguette beurre confiture.
On part ensuite dans le village chercher les vélos qu’on avait réservé hier mais la dame d’hier n’est pas là et on nous dit qu’il n’y a plus de vélo. On va en chercher ailleurs et on prend ce qui reste.
Heureusement il n’y a pas le Tourmalet à monter 🥵🥵
Nous voilà partis vers notre 1ère découverte, une cascade mais d’abord il faut traverser un pont en piteux état avec beaucoup, beaucoup de prudence 🫣🫣
Mais ça vaut le coup...
On retourne à nos vélos et on continue jusqu’au Vieux Port Français où on a une belle vue sur le Mékong
et le Cambodge juste en face de nous.
C’est dans ce bras du Mékong que l’on peut apercevoir avec beaucoup de chance les dauphins de l’Irrawaddi, espèce menacée depuis 2017.
On enfourche nos vélos direction la cascade Li Phi Somphamit
et ses buffles de plage
On retourne dans le village, on s’est gagné le déjeuner. Je pense qu’on a fait une dizaine de bornes mais qui en valent le double vu les vélos et leur état 🚲🚲
Cet après-midi farniente, lecture et bidouillage sur Internet en attendant le coucher du soleil.
On dine au resto de la guest house et on fait un petit tour dans le village qui est hyper paisible.
Pour la question d’hier, encore une fois bravo Criko. Il s’agit du pont qui relie Don Khon à Don Det et de la ligne de chemin de fer. La voie ferrée, à l’apogée de son développement, parcourt les îles de Don Khône au sud et Don Det au nord sur une longueur totale d’environ 14 km et se termine par un quai de transbordement à chaque extrémité.
Question du jour : à quoi ça sert ?
La population des Si Phan Don est répartie sur trois îles principales (Don Khong, Don Det et Don Khon) au milieu du Mékong dont les berges sont distantes de plusieurs kilomètres. Pour pouvoir nourrir leur famille, les habitants combinent souvent plusieurs activités (tourisme, agriculture, pêche…). Beaucoup sont pêcheurs et utilisent différentes méthodes de pêche traditionnelles dans ces eaux très poissonneuses, dont celle, unique, appelée « Li ».
Cette méthode, qui se transmet de génération en génération, fait appel à un système sophistiqué des nasses et filets immergés dans les chûtes, là où les courants sont les plus forts. La préparation pour cette pêche saisonnière commence en avril, pendant la saison chaude, quand le niveau du Mékong est au plus bas,…
Ou une épuisette 😊
Pont mais en mauvais état 😜
Un pont en bambou pour traverser
Grosse épuisette 😅